Gestion des ressources en eau
![Une scène paisible à l'extérieur de notre centre de données du comté de Berkeley en Caroline du Sud.](https://www.gstatic.com/marketing-cms/assets/images/f2/90/baa704594cca896f66952b28d1f9/water-steward-header-image-large.webp=w450)
Vue extérieure de notre centre de données de Berkeley, en Caroline du Sud
Notre engagement concernant la gestion des ressources en eauNous visons à reconstituer plus d'eau que nous en consommons et à contribuer à améliorer la qualité de l'eau et la santé des écosystèmes dans les communautés où nous exerçons nos activités
Chez Google, nous utilisons de l'eau dans nos bureaux et pour refroidir nos centres de données dans le monde entier. L'eau sert également tout au long de notre chaîne de valeur, dans la fabrication d'appareils grand public et d'équipements pour les centres de données.
Nous nous efforçons de promouvoir une gestion rationnelle de l'eau et sa réutilisation sur l'ensemble de nos opérations mondiales. Qu'il s'agisse de réduire la quantité d'eau potable utilisée par notre siège de la baie de San Francisco ou de rechercher de nouvelles façons d'intégrer des stratégies de circularité, nous nous efforçons de promouvoir une gestion rationnelle de l'eau et sa réutilisation sur l'ensemble de nos opérations mondiales.
Notre stratégie de gestion des ressources en eau s'attache à évaluer et gérer les risques liés à l'eau pour nos activités. Nous travaillons aussi sur les opportunités non seulement d'atténuer ces risques, mais également de trouver des solutions qui dépassent le cadre de notre propre empreinte hydrique et de collaborer avec d'autres pour relever ce défi qui s'impose à tous. Notre ambition est de reconstituer 120 % du volume d'eau potable consommé en moyenne par nos bureaux et centres de données, et de contribuer à restaurer et améliorer la qualité de l'eau et la santé des écosystèmes dans les communautés où nous exerçons nos activités.
Lorsqu'il s'agit de s'attaquer aux défis communs liés à l'eau, la technologie peut être utile pour donner de la visibilité à ces enjeux et permettre des prises de décisions plus éclairées. Nous développons des outils pour rendre les données et les technologies liées à l'eau accessibles à tous, afin de permettre une gestion plus efficace des ressources en eau et améliorer la résilience des bassins versants et des écosystèmes.
Nos principales initiatives
Centres de données
![Ces tuyaux colorés du centre de données du comté de Douglas, dans l'État de Géorgie, acheminent l'eau qui sert au refroidissement de l'installation.](https://www.gstatic.com/marketing-cms/assets/images/a1/27/3e3cebd74139b1dcbcd4853151f0/advance-responsible-water-card-one-large.webp)
Ces tuyaux colorés du centre de données du comté de Douglas, dans l'État de Géorgie, acheminent l'eau qui sert au refroidissement de l'installation.
En consultation avec les experts locaux, nous prenons des décisions technologiques adaptées à chaque région concernant le refroidissement, de sorte à évaluer la disponibilité de l'énergie décarbonée1 et des eaux issues de sources responsables. L'objectif : minimiser l'impact net de chacun de nos centres de données sur le climat, dès aujourd'hui et pour demain.
Dans de nombreuses installations, l'eau apporte une solution de refroidissement inégalée. Utilisé de façon responsable, le refroidissement par eau se révèle déterminant pour réduire nos émissions. Nous avons constaté que la consommation d'énergie et les émissions de carbone de nos centres de données refroidis par eau étaient en moyenne 10 % inférieures à celles de nos centres de données refroidis par air2.
En 2022, nous avons présenté notre stratégie de refroidissement écoresponsable des centres de données, dans laquelle nous encourageons une utilisation responsable de l'eau et réaffirmons notre objectif de fonctionner à l'énergie décarbonée 24h/24, 7j/7 d'ici 2030.
Dans nos centres de données, nous nous efforçons de déployer des technologies et des solutions permettant de réduire au maximum notre consommation d'eau potable, mais aussi d'adopter des sources alternatives, comme les eaux usées recyclées ou même l'eau de mer. Ainsi, nos sites utilisent de l'eau recyclée ou non potable à hauteur de 25 %. Grâce à ces systèmes, 23 % de la consommation d'eau totale (hors eau de mer) de nos centres de données provient d'eaux usées recyclées ou d'eaux non potables.
Ainsi, notre centre de données du comté de Douglas, dans l'État de Géorgie, refroidit ses installations en détournant l'eau des égouts qui, sans cela, serait rejetée dans la Chattahoochee. Autre exemple : nous collaborons avec la communauté d'Eemshaven, aux Pays-Bas, pour récupérer les eaux d'un canal industriel afin de refroidir notre centre de données et ainsi réserver l'eau potable à de meilleures utilisations.
Ressources associées
Bureaux
![Vue du campus Bay View de nuit.](https://www.gstatic.com/marketing-cms/assets/images/8b/0b/c31f6b744e6dbc6139a8a5319df1/advance-responsible-card-two-large.webp)
Notre campus de Bay View de nuit. Photo d'Iwan Baanis
Aux quatre coins du monde, nos bureaux utilisent l'eau pour répondre à divers besoins : préparation de repas pour les collaborateurs, hygiène, irrigation des espaces verts ou encore climatisation des espaces de travail. Afin de développer une gestion et une utilisation responsables de l'eau au sein de nos constructions, nous adoptons différentes approches pour gagner en efficacité et utiliser des sources d'eau non potable.
Pour préserver l'eau au sein des espaces de travail de Google, nous adoptons des normes de conception qui respectent les principales certifications tierces, comme les certifications LEED (Leadership in Energy and Environmental Design) et LBC (Living Building Challenge). Nos exigences pour la construction de nouveaux bâtiments incluent l'installation de systèmes économes en eau, en particulier pour les robinets, les sanitaires et les dispositifs d'irrigation. Ces normes de conception prévoient également de remplacer les anciens systèmes par de nouveaux, hautement efficaces, dans chaque espace où nous emménageons, et de poser des compteurs d'eau avec détection automatique des fuites.
Au-delà de ces normes, nous encourageons la gestion des ressources en eau de nos espaces de travail en développant des solutions innovantes, qui se veulent reproductibles et évolutives. Ainsi, notre nouveau campus de Bay View ouvert en 2022 est en passe de devenir le plus gros projet de développement au monde à décrocher la certification Water Petal du LBC, qui vise à produire une quantité d'eau non potable supérieure à la demande du site.
De plus, nous développons la gestion des ressources en eau sur nos campus en créant des espaces verts avec des plantes indigènes et des espèces résistantes à la sécheresse. Dans la mesure du possible, nous utilisons également des ressources d'eau non potable et prolongeons les canalisations municipales d'eau recyclée pour desservir une plus grande partie de nos installations.
Ressources associées
Le saviez-vous ?
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Selon les modèles prédictifs, le système d'énergie géothermique de Bay View doit permettre d'éliminer près de 90 % des besoins en eau pour la climatisation. De plus, le campus traite les eaux pluviales et les eaux usées pour les réutiliser dans les chasses d'eau et les dispositifs d'irrigation.
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Pour le campus de Bay View, être "positif en eau", c'est produire une quantité d'eau non potable supérieure à la demande du site.
Chaîne d'approvisionnement
![Un ouvrier serrant une vanne de notre centre de données de Hamina, en Finlande.](https://www.gstatic.com/marketing-cms/assets/images/cb/43/8dce9dd84cd8b8e2e1123ef21054/advance-responsible-card-three-large.webp)
Le serrage d'une vanne de notre centre de données de Hamina, en Finlande, afin de s'assurer que l'eau de mer du golfe de Finlande s'engouffre bien dans les conduits de refroidissement appropriés.
Pour relever les défis de l'eau, nous avons besoin de données précises sur son utilisation tout au long de notre chaîne d'approvisionnement. En surveillant ces données, nous pouvons concentrer nos efforts de gestion des ressources en eau sur les installations de nos fournisseurs dont la gestion présente les meilleures opportunités d'amélioration. Afin de mesurer l'utilisation de l'eau et les risques qui y sont liés dans notre chaîne de valeur, nous demandons à nos fournisseurs de divulguer leurs données relatives à l'eau via la plate-forme de chaîne d'approvisionnement du CDP, et d'évaluer et divulguer les risques liés à l'eau de leur activité directe et de leur chaîne de valeur.
En 2022, 177 des 186 fournisseurs (95 %) invités à participer à la section Sécurité de l'eau du rapport CDP sur la chaîne d'approvisionnement ont répondu. Ce rapport comprend des données sur le prélèvement, la consommation et l'évacuation de l'eau : l'ensemble de l'eau prélevée toutes sources confondues, la part d'eau définitivement perdue lors de son prélèvement et les eaux usées évacuées en tous lieux.
L'ensemble de données combiné résultant de ce rapport fournit des informations cruciales sur l'empreinte hydrique de notre chaîne d'approvisionnement, qui peuvent guider nos stratégies de gestion des risques liés à la chaîne d'approvisionnement.
Ressources associées
Notre objectif : reconstituer plus d'eau que nous en consommons
![Tours de refroidissement dans un centre de données en Belgique](https://www.gstatic.com/marketing-cms/assets/images/c9/1e/7dea751e413898c71b66d00f54cd/benifiting-watersheds-card-one-large.webp)
Tours de refroidissement de notre centre de données de Saint-Ghislain, en Belgique
En 2021, nous avons annoncé notre objectif : reconstituer plus d'eau que nous en consommons d'ici 2030. Notre ambition est de reconstituer 120 % du volume d'eau douce que nous consommons, en moyenne, dans nos bureaux et nos centres de données, et de contribuer à restaurer et à améliorer la qualité de l'eau et la santé des écosystèmes au sein des communautés dans lesquelles nous opérons.
Notre ambition peut paraître démesurée, surtout si l'on tient compte de la croissance de nos activités et des défis complexes que représente un effort global de gestion des ressources en eau. Déterminer quelles actions auront le plus d'impact demande une connaissance des problématiques locales. Par ailleurs, le secteur de la reconstitution n'est pas encore à maturité et reste limité pour identifier les circonstances les plus propices à la mise en œuvre de projets.
Pour atteindre notre objectif de reconstitution, nous prévoyons d'investir de manière continue et croissante dans des projets situés au sein des bassins versants qui fournissent de l'eau à nos bureaux et centres de données. Nous collaborons avec des partenaires externes afin d'implémenter ces projets centrés non seulement sur les volumes d'eau, mais aussi sur certaines problématiques locales, comme la qualité de l'eau, la biodiversité et l'accès à l'eau pour les communautés.
Bien que la route soit encore longue pour atteindre nos objectifs pour 2030, nous sommes fiers des progrès que nous avons accomplis cette année : 6 % de notre consommation d'eau potable en 2022 a été reconstituée.
Suivi de nos progrès
Objectif
Reconstituer 120 % du volume d'eau potable que nos bureaux et centres de données consomment en moyenne, d'ici 2030
Échéance
2030
État
2022
Fin 2022, près de 1 026 millions de litres d'eau2, soit 6 % de notre consommation d'eau potable en 20223, avaient été reconstitués grâce à nos projets d'aménagement de bassins versants.
Ressources associées
Le saviez-vous ?
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Fin 2022, nous avons estimé que nos 38 projets de reconstitution avaient le potentiel pour reconstituer près de 5 milliards de litres d'eau par an une fois pleinement implémentés2.
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Fin 2022, nous avions soutenu 38 projets de gestion des ressources en eau dans 26 bassins versants différents. Rien qu'en 2022, nous avons ajouté pas moins de 25 projets à notre portefeuille, dans des pays comme l'Angleterre, le Chili, les États-Unis et l'Inde.
Quantifier et visualiser les variations des eaux de surface
![Vue aérienne oblique surplombant Brisbane, Australie](https://www.gstatic.com/marketing-cms/assets/images/6b/f7/267f113742c89fd7fe46305a177e/supporting-watersecurity-card-one-large.webp)
Sous la direction de notre équipe Google Earth Outreach, nous soutenons les initiatives dont l'objectif est d'adapter à plus grande échelle des modèles et des solutions permettant de mieux exploiter les informations sur les ressources en eau et de les rendre plus visibles. Google s'efforce de fournir aux habitants du monde entier des informations et des outils qui les aident à gérer efficacement les ressources hydriques et à mieux se préparer aux catastrophes liées à l'eau.
Suite au lancement des Objectifs de développement durable (ODD), le Programme des Nations Unies pour l'environnement (PNUE) a demandé aux 193 pays membres de fournir des données relatives à l'indicateur 6.6.1 concernant leurs écosystèmes tributaires de l'eau. La majorité des États membres n'étaient alors pas en mesure de produire un rapport sur cette métrique. Pour combler ce manque, le PNUE et le Centre commun de recherche (CCR) de la Commission européenne se sont associés à Google afin de développer un explorateur des écosystèmes d'eau douce, Freshwater Ecosystems Explorer, capable de quantifier et de visualiser les changements survenus dans les eaux de surface au cours de plusieurs décennies. Accessibles gratuitement et faciles à prendre en main, cette plate-forme géomatique et ses outils d'analyse fournissent aux décisionnaires des données sur les écosystèmes d'eau douce au niveau d'un pays, d'une région ou d'un bassin.
En collaboration avec des groupes de recherche universitaires et gouvernementaux, Google a aussi développé OpenET dans le but d'aider à améliorer la gestion de l'eau en contribuant à la modélisation de l'évapotranspiration (ET). Ces modèles permettent d'estimer le volume d'eau transféré du sol à l'atmosphère, résultat d'un processus crucial, mais difficile à mesurer dans le cycle global de l'eau. OpenET met ses données satellite sur l'évapotranspiration à la disposition générale des agriculteurs, des propriétaires fonciers et d'autres acteurs de la gestion de l'eau.
Disponible dans Google Earth, Timelapse est une vidéo de la planète entière, en vue accélérée avec la possibilité de zoomer. Elle témoigne des modifications dynamiques observés à la surface de la Terre depuis 1984, de l'émergence des systèmes d'irrigation dans les déserts égyptiens aux changements progressifs dans le cours des rivières sinueuses de la forêt amazonienne, dans la région de Pucallpa, au Pérou.
Ressources associées
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Une nouvelle application pour cartographier et surveiller les réserves mondiales d'eau douce
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Suivez l'évolution de la planète avec de nouvelles images de Timelapse dans Google Earth
Le saviez-vous ?
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La fonctionnalité Timelapse dans Google Earth a été mise à jour avec les images de 2021 et 2022. Vous pouvez également consulter une bibliothèque de plus de 800 vidéos Timelapse sur plus de 300 lieux à l'adresse g.co/TimelapseVideos.
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D'ici 2025, deux tiers de la population mondiale pourraient vivre en situation de stress hydrique. Et face au scénario de changement climatique actuel, d'ici 2030, près de la moitié de la population mondiale pourrait vivre dans des régions soumises à un stress hydrique élevé.
Prévoir et prévenir le stress hydrique
![Photo aérienne du delta d'une rivière aux couleurs vives](https://www.gstatic.com/marketing-cms/assets/images/ea/e8/e9104a86468b98ed282508fd53cf/water-img.jpeg)
Image fournie par le CNES/Airbus, Maxar Technologies
Lancée en 2018, l'initiative Prévision d'inondations de Google utilise l'IA pour anticiper les risques d'inondations (date et lieu) de manière à informer les populations et assurer leur sécurité. Ces innovations sont le fruit d'approches de modélisation novatrices qui exploitent le machine learning pour créer des modèles évolutifs en configuration réelle.
En plus des alertes inondations diffusées dans certains pays, notre plate-forme Flood Hub publie des prévisions d'inondations permettant aux gouvernements, aux organismes d'intervention et aux communautés exposées d'agir rapidement.
Nous appliquons des méthodes de machine learning avancées à un large éventail d'ensembles de données à la disposition du public (imagerie satellitaire, données fluviales et données météorologiques, par exemple). Ces ensembles de données permettent de générer des prévisions d'inondations de grande qualité à l'aide d'un modèle hydrologique et d'un modèle d'inondation. Ces deux modèles sont capables de déterminer lorsqu'un fleuve va déborder et d'indiquer le lieu exact de l'inondation jusqu'à sept jours à l'avance. Grâce à ces données exploitables, ces systèmes d'alerte précoce aident à sauver des vies et à protéger les moyens de subsistance.
En mai 2023, nous avons étendu notre couverture à 60 nouveaux pays d'Afrique, d'Asie-Pacifique, d'Europe et d'Amérique centrale/latine. Flood Hub publie désormais les prévisions de 80 pays. Cela concerne certains des territoires qui enregistrent des conditions météorologiques extrêmes et dont la population est hautement exposée au risque d'inondations, soit près de 460 millions de personnes dans le monde. Ces prévisions sont accessibles gratuitement.
Ressources associées
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Préserver la sécurité des personnes à plus large échelle grâce à la prévision d'inondations
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Global Water Watch démocratise l'accès aux informations sur les ressources en eau de la planète.
Le saviez-vous ?
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Chaque année, les inondations provoquent des milliers de morts dans le monde, brisent la vie de millions d'autres personnes et causent des milliards de dollars de dégâts.
Subventions au profit de solutions prometteuses de gestion des ressources en eau
![La beauté de notre centre de données d'Eemshaven, aux Pays-Bas, se reflète dans les eaux claires.](https://www.gstatic.com/marketing-cms/assets/images/62/ac/4b341b7f4074b2aa26c4f8f724a0/supporting-water-security-card-three-large.webp)
Vue extérieure de notre centre de données d'Eemshaven, aux Pays-Bas
En plus des efforts de notre équipe Google Earth Outreach, Google.org a accordé plusieurs millions de dollars de subventions à des solutions prometteuses de gestion des ressources en eau, y compris :
- BlueConduit, afin de développer des outils accessibles au public et capables de quantifier ainsi que de localiser les conduites en plomb dangereuses pour les communautés vulnérables, une première étape cruciale dans le remplacement des infrastructures hydrauliques insalubres ;
- Global Water Watch, qui vise à démocratiser les informations sur les ressources en eau afin de permettre aux décideurs, aux organisations de protection de l'environnement et aux communautés de mieux gérer les ressources en eau collectivement ;
- l'Université américaine de Beyrouth, afin d'appliquer le machine learning aux données sur la météo et l'agriculture dans un triple objectif : améliorer l'irrigation des exploitations aux ressources limitées en Afrique et au Moyen-Orient, prévoir en temps quasi réel l'utilisation de l'eau, et préserver les ressources de ces régions fragiles.
Ressources associées
Signaler
La gestion des ressources en eau par Google : favoriser une évolution positive chez Google et ailleurs
Ce document décrit notre travail de gestion des ressources en eau à ce jour et nos ambitions pour l'avenir, tant au sein de Google qu'à l'extérieur. Nous nous concentrons sur trois domaines : l'amélioration de notre gestion des ressources en eau sur les campus et dans les centres de données de Google, la reconstitution de notre consommation d'eau et l'amélioration de la santé des bassins versants et des écosystèmes dans les communautés soumises à un stress hydrique, et enfin le partage de technologies et d'outils pour aider à prévoir, à prévenir et se remettre du stress hydrique.
Septembre 2021